Que je délaisse ce blog alors que j’aurais tant à y faire presque quotidiennement ! Suis-je donc indiscipliné et volage….quoi de mieux pour inaugurer une nouvelle section ? La cuisine expérimentale est consacrée à tous ces délires qui naissent en solo ou entre amis…et qui n’ont pour vocation que de montrer à quel point c’est le boxon dans nos têtes.
Je livre ici les paroles à l’abandon d’une reprise /parodie de « Comme un Boomerang » (chanson que j’adore par ailleurs ^^) que j’ai imaginé du point de vue d’un célèbre justicier de la nuit……peut-être un jour une version karaoké ???? Il va pleuvoir ce jour là !!!
Comme un batarang
Chanson (non) enregistrée au Gotham Charity Live commémorant la ******eme évasion du Joker
« Après une poursuite exsangue
Quatre malfrats j’ai coincé
Furtif comme un batarang
Je les ai tous assommé
Et le Joker ce dingue
Peut toujours aller s’planquer
J’ai en dessous de la langue
Une fléchette anhéstésiante
Furtive comme un batarang
Elle me sort de la tourmente
L’épouventail regrette
Un jour, de m’avoir croisé
Après une poursuite exsangue
Quatre malfrats j’ai coincé
Furtif comme un batarang
Je les ai tous assommé
A courir comme des dingues
Ils se sont vite épuisés
Sachez que mon cœur fait bang
Qu’il est proche d’exploser
Quand, comme un batarang
Vous revenez me hanter
Par les nuits de solitude
Vous me parents assassinés
Après une poursuite exsangue
Quatre malfrats j’ai coincé
Furtif comme un batarang
Je les ai tous assommé
Au nom de cette justice
J’ai choisi de les traquer
Ils faisaient partie d’un gang
Qu’Harley Quinn avait appelé
Prenez garde au batarang
Il pourrait précipiter
Votre venue à Arkham
Dans une camisole serrée
Après une poursuite exsangue
Quatre malfrats j’ai coincé
Furtif comme un batarang
Je les ai tous assommé
Et cette histoire de dingue
Va bientôt se terminer.
C’est bien ma raison qui tangue
En cobaye du Chapellier
Même à coups de batarangs
Je ne peux me délivrer
Je prie qu’un jour Robin
Puisse venir me délivrer.
Après une poursuite exsangue
Quatre malfrats j’ai coincé
Furtif comme un batarang
Je les ai tous assommé
C’est à Gordon au final
Que je devrais les laisser »